Gagner
la paix 1914-1929, Paris, Editions du Seuil, 2015.
"Des
parlementaires au service de la paix. Le Groupe parlementaire français
de l’arbitrage international (1903-1914)", Parlement[s],
Revue d'histoire politique, 2017/2 (N° 26), p. 37-65.
«
Le
rapprochement franco-allemand dans les années 1920
: esquisse d’une véritable réconciliation ou entente
illusoire ? », Les cahiers Irice, n°15, 2016/1, p.
25-40.
« Briand
n’était pas naïf », L’Histoire,
n°411, mai 2015, p. 56-57.
« Paix
avec l’Allemagne », L’Histoire,
n°416, octobre 2015, p. 24-25.
"Golf
et diplomatie, ou les mésaventures d’Aristide Briand au
Conseil suprême de Cannes (janvier 1922)",
dans Jean-Michel Guieu et Claire Sanderson (dir.), L'historien
et les relations internationales. Autour de Robert Frank, Paris,
Publications de la Sorbonne, 2012.
« Aristide
Briand (1862-1932), le 'pélerin de la paix'
», Les Chemins de la Mémoire, n°193, avril
2009, p. 12.
"Paul
Painlevé et la paix", dans Claudine Fontanon
et Robert Frank (dir.), Paul Painlevé, un savant en politique,
Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. «Carnot», 2005, p. 119-131.
« Albert
Thomas et la paix, du socialisme normalien à l’action internationale
au BIT », dans Alya Aglan, Olivier Feiertag et Dzovinar
Kévonian (dir.), Albert Thomas, société mondiale
et internationalisme - Réseaux et institutions des années
1890 aux années 1930. Les Cahiers Irice, 2008, n°2,
p. 65-80.
|
La
création de la SDN, dont le Pacte a été adopté
le 28 avril 1919 par la Conférence de Paris et incorporé
dans tous les traités de paix, a représenté en
son temps un réel progrès dans le développement
du droit international et une tentative de répondre par la sécurité
collective à l’aspiration universelle des peuples en faveur
de la paix. La légende noire qui entoura depuis lors cette organisation
ne mérite-t-elle pas aujourd'hui pas d’être nuancée
?
"L’“insécurité
collective”. La Société des Nations et l’Europe
dans l’entre-deux-guerres", Bulletin de
l’Institut Pierre Renouvin, n°30, automne 2009, p. 21-43.
«
Les Allemands et la Société des nations (1914-1926)
», Les cahiers Irice, 2/2011 (n°8), p. 61-90.
« La
SDN et ses organisations de soutien dans les années 1920. Entre
promotion de l’esprit de Genève et volonté d’influence
», Relations internationales, n° 151, 2013/1, p.
11-23.
«
Le
discours européen des militants pour la Société
des Nations dans l’entre-deux-guerres», Études
germaniques, 64 (2009), 2, p. 349-362.
« La
Société des Nations, fille de la Grande Guerre
», Les Chemins de la Mémoire, n°193, avril
2009, p. 7-10.
« Genève
1926 : capitale de la paix ? L'admission de l'Allemagne
à la SDN », Bulletin de l'Institut Pierre Renouvin,
n°12, automne 2001.
|
«
"Société
universelle des nations" » et "sociétés
continentales". Les juristes internationalistes euroaméricains
et la question du régionalisme européen dans les années
1920 », Siècles, n° 41 | 2015, [en ligne]
https://siecles.revues.org/2584.
«
The
Debate about a European Institutional Order amongst International Legal
Scholars in the 1920s and its Legacy », Contemporary
European History, 21, 3 (2012), p. 319–337.
"State
Sovereignety in Question: The French Jurists between the Reorganization
of the International System and European Regionalism, 1920-1950"
dans Julian
Wright & H. S. Jones (Ed.), Pluralism
and the Idea of the Republic in France, Basingstoke, Palgrave
Macmillan, 2012, p. 215-230.
«
Juristes
et relations internationales aux XIXe-XXe siècles. Introduction
», Relations internationales, n°149, 2012/1 (collaboration
avec Dzovinar KÉVONIAN), p. 3-11.
« Les
juristes internationalistes français, l’Europe et la paix
à la Belle Époque », Relations
internationales, n°149, 2012/1, p. 27-41.
«
Les juristes français, la SDN et l'Europe »,
dans Jacques BARIETY (dir.), Aristide
Briand, la Société des Nations et l'Europe, 1919-1932, Strasbourg,
Presses Universitaires de Strasbourg, 2007, p. 185-199.
« Fédérer
l’Europe ou subir une nouvelle catastrophe : le discours européen du
juriste Georges Scelle dans les années 1920 », dans Hypothèses
1/2000 (3), p. 47-54.
«
Les
juristes au regard de l'historien : le cas de l'engagement
des professeurs de droit en faveur d'une union de l'Europe entre les
deux guerres », Bulletin de l'Institut Pierre Renouvin,
n°11, printemps 2001, p. 83-101.
|
« Les
peuples font la paix (1918- 1925) », Matériaux
pour l’histoire de notre temps, n°129-130, 2018/3-4 (en
collaboration avec Carl BOUCHARD).
«
La “paix par le droit”. De l’âge d’or
du pacifisme juridique à la “guerre du droit” »
dans
Rémi FABRE, e.a. (dir.), Les défenseurs de la paix
(1899-1917), Rennes, PUR, 2018, p. 95-110.
«
Les réseaux internationaux de défense de la paix à
la Belle Époque, entre rivalités et convergences »
(en collaboration avec Rémi FABRE et Elsa MARCOBELLI)
dans Rémi
FABRE, e.a. (dir.), Les défenseurs de la paix (1899-1917),
Rennes, PUR, 2018, p. 23-44.
"Introduction
générale"
(en collaboration avec Thierry Bonzon, Rémi Fabre, Elisa Marcobelli
et Michel Rapoport), dans Rémi Fabre, e.a. (dir.), Les défenseurs
de la paix (1899-1917), Rennes, PUR, 2018, p. 9-19.
Rémi
Fabre, Thierry Bonzon, Jean-Michel Guieu, Elisa Marcobelli et Michel
Rapoport (dir.), Les
défenseurs de la paix 1899-1917, Presses
Universitaires de Rennes, coll. "Hors Série", 2018,
446 p.
"La
paix par la Société des Nations ? Les évolutions
du pacifisme français dans les années 1920"
dans Stéphane Tison (dir.), Paul d’Estournelles de
Constant. Concilier les nations pour éviter la guerre (1878-1924),
Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2015, p. 163-179.
"Le
pacifisme européen au temps d'Henri La Fontaine"dans
Henri La Fontaine, Prix Nobel de la paix en 1913. Un belge épris
de justice, Mons, Mundaneum/Racine, 2012, p. 53-66.
« De
la 'paix armée' à la paix 'tout court", la contribution
des pacifistes français à une réforme du système
international, 1871-1914 », Bulletin de l'Institut
Pierre Renouvin, 2/2010 (n° 32), p. 81-109.
|
L’idée
d’une paix durable, fondée sur le droit, a représente
le grand espoir d’un XXe siècle traumatisé par
deux guerres mondiales. Première incarnation de cet idéal,
la Société des Nations (1919-1946) a suscité
en sa faveur un mouvement de soutien qui s’est employé
à relayer l’« esprit de Genève » auprès
de l’opinion française, tout en s’efforçant
d’orienter les destinées de la nouvelle organisation,
marquée par ses origines anglo-saxonnes, dans le sens des conceptions
françaises. Si la SDN a échoué, l’histoire
de ce militantisme reste essentielle à connaître pour
saisir plus complètement l’atmosphère politico-intellectuelle
qui a influé sur la politique étrangère de la
France de l’entre-deux-guerres.
A l’opposé des bonnes intentions naïves auxquelles
on associe généralement leur combat, ce livre entend
montrer que les militants pour la SDN ont défendu une conception
nouvelle des relations internationales, éloignée de
tout « pacifisme sentimental » et qui, par bien des aspects,
alimente encore les réflexions contemporaines en matière
d’organisation de la communauté internationale (multilatéralisme,
coopération internationale, sécurité collective,
désarmement, justice internationale, universalisme/régionalisme,
etc.).
"L'européisme
au secours de l'universalisme? La contribution des militants français
pour la SDN au débat européen des années 1920",
dans Geneviève Duchenne et Michel Dumoulin (dir.), Générations
de fédéralistes européens depuis le XIXe siècle.
Individus, groupes, espaces et réseaux, Bruxelles, Peter
Lang, Collection "Euroclio", volume 67, 2012, p. 109-124.
«
La
SDN et ses organisations de soutien dans les années 1920. Entre
promotion de l’esprit de Genève et volonté d’influence
», Relations internationales, n° 151, 2012/3, p.
11-23.
|
Le « Congrès
de l’Europe » à La Haye (1948-2008), Bruxelles,
PIE-Peter Lang, 2009 [en collaboration avec Christophe Le Dréau].
«
Le
militantisme européen, une approche générationnelle
(des années 1920 au début des années 1950)
», Histoire@politique, n°10, janvier-avril 2010.
«
Le
militantisme européen, une approche générationnelle
(des années 1920 au début des années 1950)
», Histoire@politique, n°10, janvier-avril 2010.
«
Anti-européisme
et résistances à l’Europe communautaire, de nouvelles perspectives pour
l’histoire de la construction européenne », Cahiers
IRICE, n°4, 2009, p. 157-162.
«Comité
fédéral de Coopération européenne»,
dans Bertoncini (Yves), Chopin (Thierry), Dulphy (Anne), Kahn (Sylvain)
et Manigand (Christine), dir., Dictionnaire critique de l’Union
européenne, Paris, Armand Colin, 2008, p. 61-63.
"Les
mouvements pour la paix et l'idée européenne dans l'entre-deux-guerres"
dans Nicolas BEAUPRÉ , Caroline MOINE
(dir.), L’Europe de Versailles à Maastricht. Visions,
acteurs et moments du projet européen, Paris, Seli Arslan,
2007, p. 68-78.
Penser
et construire l'Europe au XXe siècle, Historiographie, Bibliographie,
Enjeux, Paris, Belin, Collection "Belin Sup
Histoire", 2007 (en collaboration avec Christophe Le Dréau,
Jenny Raflik et Laurent Warlouzet).
«
Le
militantisme européen dans l'entre-deux-guerres.
Esquisse d'un bilan », Comparare -Comparative European History
Review, 2002, p. 95-110.
«
Régionalisme et idée européenne dans la première
moitié du XXe siècle : le cas de Jean Charles-Brun (1870-1946)
», dans Marie-Thérèse Bitsch (dir.), Le fait
régional et la construction européenne, Bruxelles,
Bruylant, 2003, p. 31-44.
«
De Proudhon à
Pétain, le parcours européen de Jean Hennessy »,
dans Gérard Bossuat (dir.), Inventer l’Europe, Histoire
nouvelle des groupes d’influence et des acteurs de l’unité
européenne, Bruxelles, PIE-Peter Lang, 2003, p. 111-123.
«
Le Comité fédéral
de coopération européenne : l’action méconnue
d’une organisation internationale privée en faveur de l’union
européenne dans les années Trente », dans Sylvain
Schirmann (dir.), Organisations internationales et architectures
européennes (1929-1939), Centre de recherche « histoire
et civilisation de l’Europe occidentale », 2003, p. 73-91.
«
L’engagement
européen d’un grand mathématicien français:
Émile Borel et la "coopération européenne",
des années 1920 aux années 1940 »,
Bulletin de l’Institut Pierre Renouvin, n°5, été
1998, p. 15-32.
|