Préparation aux épreuves d'histoire contemporaine du CAPES et de l'AGREGATION
Travaux Dirigés - Séance 20
Lectures conseillées :
• Justine Lacroix, Ramona Coman, Les résistances à
l’Europe : cultures nationales, idéologies et stratégies
d’acteurs, Bruxelles, Institut d’études Européennes,
2007, 290p.
• Robert Harmsen & Menno Spiering (eds), Euroscepticism : Party
Politics, National Identity and European Integration, Amsterdam/New York,
Rodopi, 2005, 304 p.
• Philippe Poirier : « L’union européenne en question
: les mouvements opposés à la « méthode communautaire”
de 1979 à 2004 », in Marie-Thérèse Bitsch, Wilfried
Loth et Charles Barthel (dir.), Cultures politiques, opinions publiques
et intégration européenne, Bruxelles, Bruylant, 2007.
Coudenhove, Paneurope, 1923 :
« Par la parole et par l’écrit, la question européenne
doit être présentée à l’opinion publique de
tous les peuples comme la question vitale pour des millions d’hommes jusqu’à
ce que chaque Européen se voie contraint de prendre position à
son sujet. Il faut qu’une séparation nette se fasse entre Paneuropéens
et Antieuropéens, partisans et adversaires d’une fédération
».
Romain Rolland au service de l'internationalisme. Dans son article « La route qui monte en lacets » (1916), il annonce « un jour prochain, l’union des nations d’occident formera une nouvelle patrie. Elle-même ne sera qu’une étape sur la route qui mène à la patrie plus large : l’Europe ». Mais il se détourne rapidement de la question européenne :
« Toute l’expérience de ma vie m’a conduit à reconnaître, tout au contraire, l’identité, dans tous les pays, des mêmes tempéraments de pensée. C’est un préjugé de vieille Europe, enfermée dans son provincialisme de s’assurer le monopole de l’esprit, de raison pratique, positive et agissante (...). Il n’existe plus de cloison entre deux hémisphères de l’esprit : toutes les formes de la pensée s’internationalisent actuellement entre l’Europe, l’Asie et l’Amérique ».
"Je vois trop bien que l’Européanisme, à l’heure
actuelle, sous les diverses robes dont il s’affuble (Paneuropa, fédération
européenne, etc.) est le masque d’un nouveau nationalisme plus
dangereux (...) par le seul fait qu’il se proclame, il marque instantanément
la formation de deux ou trois monstrueux groupements rivaux : Pan-Asia, Pan-America
(...) Je refuse d’y mêler ma voix. Je l’élève,
contre. Je n’admets aucune fédération qui ne reste ouverte
à toute l’humanité. »
Les résistances du mouvement international de soutien à la SDN face au plan Briand lors de la XIVe Assemblée plénière de l’Union internationale des Associations pour la SDN qui se tient à Genève du 5 au 9 juin 1930 :
Le comte Bernstorff qui conduisait la délégation allemande exprima, sur le principe, son « admiration pour le projet de M. Briand », mais mit au soutien allemand un certain nombre de préalables, tels que l’universalisation de la Société des Nations, la constitution de la future fédération européenne dans le cadre de la SDN, la priorité de son action dans le domaine économique, le désarmement européen et la résolution de la question des minorités « conformément aux principes de liberté et d’égalité » .
Le délégué autrichien Constantin Dumba réaffirma la nécessité de construire l’Europe dans le cadre de la SDN et de cantonner au départ ses activités aux seules questions économiques, sous peine de risquer l’échec complet.
La déléguée néerlandaise, Christina Bakker-Van
Bosse, se déclara elle-même hostile aux termes de « lien
fédéral » qu’elle voudrait voir remplacer par ceux
d’« organisation d’une coopération plus étroite
»... ..
Henri Hauser contre une Pan-Europe chimérique (1926)
"Pan-Europe, cette folie ne tiendrait compte ni des individualités
si fortes que sont les nations européennes, grandes ou petites, ni des
liens ténus, multiples, entrecroisés qui rattachent ces nations,
une à une, à d’autres parties du monde. Opposant des masses
à des masses, une Pan-Europe et une Panamérique, à une
Asie soviétisée, une Afrique vouée à l’éthiopanisme,
elle préparerait pour demain la plus effrayante des guerres, une guerre
des mondes. En attendant, elle dresserait contre le protectionnisme américain
une série de protectionnismes continentaux. Ces impérialismes
économiques ne travailleraient pas pour la paix. " in Henri Hauser,
« Qu’est-ce que l’Europe », Le Monde Nouveau, 15 août-15
septembre, p. 681-688. Reproduit dans Bernard Bruneteau, Histoire de l’idée
européenne au premier XXe siècle à travers les textes,
Paris, Armand Colin, 2006, p. 70-71.
Charles Maurras : nationalisme intégral et germanophobie:
« L’Europe restera désunie ou sera allemande, il ne peut
pas y avoir de milieu. Des trois grandes familles ethniques [Latinité/Slavité/Germanité]
qui composent l’Europe, la famille allemande est la plus nombreuse et
de beaucoup, et c’est elle aussi qui dispose de l’unité politique
la plus populeuse. […] Se fédérer avec elle revient à
s’y inféoder et à s’y vassaliser : incomparablement
plus forte que chaque nation, plus unie et plus resserrée que tout autre
famille de nations, ce serait pour elle un jeu d’enfants de défaire
et refaire à son profit toutes les associations de peuples qui se formeraient
autour d’elle et même contre elle » (L’Action française,
25 août 1930).
Lors des discussions autour de la réponse allemande au Mémorandum français (1930), le ministre allemand des Affaires étrangères, Curtius, déclare que la note demandée sera « un enterrement de première classe pour l'action de Briand ».
L’Anti-Europe des fascistes est un projet alternatif : « anti-Europa », c'est-à-dire l’Europe fasciste avec l’homme nouveau. Julius Evola (1898-1974) écrit en 1928 son texte majeur : L’impérialisme païen : « Antieurope, antisémitisme, antichristianisme – voici nos mots slogans ».
Hitler n’a jamais caché sa haine pour les projets de Paneurope. Dans un texte intitulé L’expansion du Troisième Reich, écrit en 1928 mais qui ne sera finalement publié qu’en 1961, il dédie un chapitre aux « Utopies européennes et autres ». L’européisme y est essentiellement réduit au comte Coudenhove-Kalergi dont les origines autrichienne, grecque et japonaise lui valent le qualificatif de « bâtard du monde entier » (Allerweltsbastard). La solution paneuropéenne est pour lui un « enfantillage fantastique et historiquement impossible » (fantastische Kinderei und historisch unmöglich). On ne peut fonder une Europe sans considérer les fondements raciaux des nations.
L’idéologue du parti nazi, l’éditeur de l’organe officiel du NSDAP, le « Völkischer Beobachter (L’Observateur populaire) », Alfred Rosenberg a développé ses vues sur l’Europe unie dans son livre sur Le mythe du XXe siècle (1930) dans lequel il condamne également les idées du comte Coudenhove-Kalergi qualifié pour l’occasion de « franco-juif ».
Inquiétudes des sidérurgistes français
face au futur traité de la CECA (1951). Dans une lettre à Robert
Schuman, Louis Charvet, délégué général de
la Chambre syndicale de la sidérurgie française, attire
"l’attention du gouvernement français, sur les conséquences
désastreuses et irrémédiables qu’aurait pour notre
industrie et pour l’économie française tout entière
le traité en préparation. [...] La vie de notre industrie est
en cause; elle est en cause non seulement pour l’avenir immédiat,
mais pour un demi-siècle. La sidérurgie est un des fondements
de l’économie française. Elle est l’un des outils
essentiels de l’équipement et de la défense de la France."
(source : Lettre de Charvet à Schuman, du 19 mars 1951. Archives Nationales
62 AS 113. Reproduit dans Françoise Berger, « La France et l’Allemagne
au coeur de l’Europe industrielle en construction : des ententes privées
à la CECA », Matériaux pour l’histoire de notre temps,
n° 47, juillet-septembre 1997 (1997) p. 37-46).
La Chambre de Commerce internationale et la "petite Europe" des Six (1952)
Réunie les 10 et 11 décembre 1952, la commission des Affaires européennes de la CCI craint "que la méthode de l’intégration par secteurs finisse par diviser l’Europe en secteurs intégrés et non intégrés dont chacun aurait sa sphère d’action propre. On serait loin de cette unification économique ardemment souhaitée par tous, car l’unification économique a pour condition première un marché libre unique et non une multitude de petits marchés d’une étendue et d’une composition variables ».
Le député lorrain, Louis Marin, représentant
de la droite nationaliste, s’oppose au plan Schuman et manifeste dans
ce texte un antigermanisme profond : "Ce qui est, d’avance,
certain, c’est que l’Allemagne va être considérée
sur le même pied que les autres Etats ; son nazisme, ses crimes, ses massacres
effroyables seront amnistiés ; comme elle le fait déjà,
elle réarmera sans tarder ; sa reconstruction est, depuis 6 mois, accélérée
et elle sera achevée beaucoup plus vite que la nôtre. Grâce
au fait qu’elle repart sans charges de guerre et avec très peu
de charges sociales, avec une population exceptionnelle, avec les mêmes
chefs sans principes moraux, mais très expérimentés, avec
une race avide d’impérialisme, de disciplines où l’esprit
totalitaire et raciste règne d’autant mieux que, s’ils ont
perdu, par trop de hâte, les deux guerres, ils n’entendront pas,
cette fois, perdre la troisième. En tout cas, ils entreront dans l’Europe
nouvelle pour la commander". (Article de Louis Marin, dans le journal Action
le 28 mai 1950. Source www.ena.lu)
Edouard Herriot contre la CED (30 août 1954) :
"Pour ma part, j’aime mieux la situation actuelle garantie par les
accords quadripartites, que cette combinaison, ce compromis entre la France
et l’Allemagne, plus exactement, le compromis de l’Europe des six,
dont je suis convaincu qu’il nous mènera aux pires complications
et que les Français regretteront amèrement d’avoir signé,
car il est valable pour cinquante ans. C’est pour cinquante ans que vous
allez engager la France, votre patrie; que vous allez fixer son destin, malgré
toutes les réserves que l’on peut faire sur tel ou tel article
du traité. [...] Je ne veux pas, pour ma part, la Communauté européenne
de défense. Je veux un rapprochement avec l’Allemagne, avec tous
les pays d’Europe fondé sur d’autres principes, fondé
sur d’autres intentions. Pour l’instant, je déclare qu’en
aucune façon je ne consentirai à associer, par mon vote, mon pays
à toute une période d’incertitudes, de troubles sans doute
peut-être de mensonges – j’ai, moi aussi, le droit de prononcer
ce mot – de mensonges et de trahison. (Débats de l’Assemblée
nationale du 30 août 1954, in Journal officiel de la République
française, 31 août 1954, n° 85 A.N., p. 4455-4474.)
"On a donc vu nombre d’esprits, souvent d’ailleurs valables et sincères préconiser pour l’Europe, non point une politique indépendante qu’en vérité ils n’imaginent pas, mais une organisation inapte à en avoir une, rattachée dans ce domaine, comme dans celui de la défense et celui de l’économie, à un système atlantique, c’est-à-dire américain, et subordonnée, par conséquent, à ce que les États-Unis appellent leur « leadership ». Cette organisation, qualifiée de fédérale, aurait eu comme fondements, d’une part un aréopage de compétences soustraites à l’appartenance des États et qu’on eût baptisé « exécutif », d’autre part un Parlement sans qualifications nationales et qu’on eût dit « législatif »". (Extraits de la conférence de presse du général de Gaulle, président de la République française, Palais de l’Élysée, 23 juillet 1964)
OUI | NON | Taux de participation | ||
France | 23 avril 1972 | 68% | 32% | 61% |
Irlande | 10 mai 1972 | 83% | 17% | 70% |
Norvège | 26 septembre 1972 | 46,5% | 53,5% | 78% |
Danemark | 2 octobre 1972 | 63,% | 36,5% | 89% |
Les moyennes calculées par Christopher J. Anderson et Karl C. Kaltenhalter pour les deux décennies comprises entre 1973, date de parution d’Eurobaromètre, et 1993 montrent que l’approbation globale de la construction européenne est élevée. Voir tableau statistique publié dans Dulphy et Manigand (dir), Les opinions publiques face à l'Europe communautaire, p. 11 (voir document en ligne). On peut ainsi distinguer trois groupes d'Etats :
- un premier groupe de six pays - les six membres fondateurs _ auxquels on
peut ajouter l'Espagne, où l'europhilie semble assez largement ancrée
- un second groupe - Irlande, Grèce, Portugal - où les sentiments
sont plus partagés
- un troisième - Danemark et Royaume-Uni - sceptique, voire hostile,
à la construction européenne.
Julian Mischi, "Les mobilisations eurosceptiques au Royaume-Uni : une continuité historique ?", Critique internationale, 2006/3, n°32, p. 79 à 101
L' "euroscepticisme" a été surtout étudié par les politistes. Quelques références à ce sujet :
L'euroscepticisme a été défini par le politologue Paul Taggard en 1998 et il propose une distinction entre un eurosceptiscisme "soft" majoritaire (qui s’oppose aux évolutions de la construction européenne) et un euroscepticisme "hard" minoritaire (qui remet en cause l’existence ou l’adhésion aux institutions européennes).
Afin de prendre des distances à l’égard de l’extrême diversité des mouvements eurosceptiques et d’éviter tout jugement de valeur qu’implique ce terme, la science politique préfère le terme plus neutre de « résistance à l’Europe ».
Depuis le début des années 1990, est apparu le terme de « souverainisme ». On en attribue en général la paternité à l’écrivain et député européen Paul-Marie Couteaux qui l’a introduit en France après une visite au Québec.
L’émergence d’un mouvement de résistance à l’Europe dépend des opportunités d’expression d’une opinion publique. Cela peut se faire par l’impulsion de partis politiques, notamment les campagnes menées par le Parti communiste français lors de la CED.
En Grande-Bretagne les premiers mouvements eurosceptiques n’apparaissent qu’en 1961 à l’occasion de la première candidature britannique, la principale étant l’Anti-Common Market League, fondée par le conservateur Peter Walker.
L’expression d’une opinion publique résistante à l’idée d’Europe est particulièrement suscitée par des référendums. Exemple : le « non » l’emporte le 25 septembre 1972 en Norvège (53,5%) lors d'un référendum sur l'adhésion du pays à la CEE. Le gouvernement socialiste de Trygve Bratelli et la majorité des partis politiques de gauche échouent dans leur campagne massive en faveur du "oui". Le vote fait clairement apparaître les clivages profonds qui divisent le pays : les pêcheurs et les agriculteurs isolés du Grand Nord et de l'Ouest sont réticents à toute influence étrangère et s'opposent par conséquent à la Communauté économique européenne (CEE), tandis que les citadins du Sud et d'Oslo sont plus ouverts au monde et donc plus favorables à l'unification européenne.
La ratification du traité de Maastricht provoque une vague d'euroscepticisme,
qui peut être expliquée par plusieurs faceurs :
- L’opinion était peu ou mal informée par les médias
et le traité était difficilement intelligible pour les non-spécialistes.
- La conjoncture n’était guère favorable avec la récession
et la montée du chômage: l’intégration économique
et le grand marché devaient développer la prospérité,
or le taux de croissance était tombé à 1% en 1992.
- L’union politique devait apporter la paix en Europe, or l’impuissance
de l’Europe semblait grande face aux conflits de l’ex-Yougoslavie.
Le Danemark a joué un rôle particulièrement important dans cette vague d'euroscpeticisme, car les Danois ont été les premiers à se prononcer sur la ratification du traité de Maastricht et que le référendum a été négatif à une courte majorité : 50,7% des voix en faveur du "non". Le 12 mai 1992, le Parlement danois s'était prononcé en faveur de la ratification à une très large majorité (130 voix contre 25 et 20 abstentions). Pratiquement, seules l’extrême-gauche (Parti socialiste populaire) et l’extrême-droite (parti du Progrès) avaient alors voté contre. Les syndicats ouvriers et patronaux étaient également favorables à la ratification.
Les dirigeants politiques de Copenhague n'ont pas mené leur campagne très habilement, ne cessant de menacer les électeurs des conséquences catastrophiques d'un rejet du traité de Maastricht par le Danemark qui n'aurait plus aucune influence sur les décisions de Bruxelles. La décision, au début de la campagne, de faire imprimer plus de trois cent mille exemplaires du Traité sur l'Union européenne et de les mettre gratuitement à la disposition du public, a eu aussi des effets négatifs car le traité n'était pas facile à lire pour les citoyens non avertis.
Pour expliquer le non danois, il faut mettre en avant :
- les rapports des Danois à la CEE depuis leur adhésion en 1973 : les Danois ont été favorables à un marché commun au nom de considérations très pragmatiques (maintenir les liens économiques privilégiés, notamment en matière d'exportations agricoles, avec la Grande-Bretagne qui était désormais membre de la CEE) et ont toujours refusé une évolution vers un ensemble plus politique qui remettrait en cause le souveraineté (et le traité de Maastricht était interprété comme un texte surtout politique). Les Danois ont particulièrement profité de la CEE et sont bénéficiaires du budget européen.
- le désir des Danois de préserver leur identité : ils se sentent plus proches de leurs voisins scandinaves que des Etats méditerranéens de la CEE. Ils ont toujours eu une préférence sentimentale pour le Conseil nordique créé en 1952 et dont on fêtait le 40e anniversaire en 1992. Le Conseil nordique est simple forum de discussion et de coopération entre les pays nordiques et n'a aucun caractère obligatoire et supranational.
- la défiance grandissante à l'égard de la technocratie bruxelloise : les opposants danois à Maastricht n'ont eu de cesse de dénoncer la bureaucratie bruxelloise qui s'immisce progressivement dans la vie quotidienne des citoyens européens, sans que ceux-ci en perçoivent vraiment la nécessité. Les Danois ont craint de voir leur vieux modèle social-démocrate (fondé dès 1933) dans une Union européenne à tonalité libérale.
Le "non" danois provoque un choc dans la Communauté européenne. Le Conseil européen écarte toute renégociation du traité. Un « compromis national »est alors approuvé le 30 octobre 1992 par le Parlement danois demande un statut particulier au sein de l’Union excluant le Danemark de la monnaie unique, de la défense, de la citoyenneté, de la compétence communautaire dans les domaines de justice et de police.
Le Conseil européen d’Edimbourg (11 – 12 décembre
1992) accepte ces dérogations et reconnaissent au Danemark un statut
spécifique. Un nouveau référendum est alors organisé
au Danemark, le 18 mai 1993. Le « oui » l’emporte largement
avec 56,8 % des voix (86 % de participation).
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Bonnes révisions à tous et bonne chance!
Dans cette période finale de révision, revenez à votre manuel de prédilection (pour ne pas se noyer dans les détails), revoyez bien la chronologie et retenez des exemples précis à partir des textes étudiés en TD.
Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos questions ponctuelles ou pour corriger des plans détaillés (via mon courrier électronique).